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Le Cancan, le « Speakeasy » décors années 30 Bordelais poursuit son chemin avec succès

today2021-07-29 5

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Lumières tamisées, spirit années 30, Chesterfield de bon aloi, cocktails d’anthologie et originaux, accueil soigné et chaleureux: bienvenue au Cancan « Coquetels et Flonflons » qui par l’intermédiaire de Villa Schweppes est lauréat des trophées de la Mixologie sur la France entière. Une belle réussite dont le Protocole vous narre l’histoire.

À la Française

Depuis cinq ans maintenant, l’existence du Cancan ne fait que s’améliorer en vue de perdurer. Le secret? Tout d’abord une bonne dose d’amour, de bonne humeur, et de compétences réunies. La seconde recette réside dans le savoir-faire des cocktails. Provenance d’Aquitaine en privilégiant les circuits courts de la région Bordelaise s’ approvisionnant directement chez les producteurs locaux.

On y retrouve donc des cocktails signatures et dit « à la Française », un véritable savoir-faire qui se perd à l’orée des pertes de toutes les traditions… Rappelons que ce savoir-faire privilégie le goût à la quantité ou la force. Bien boire ne veut pas dire boire fort et vous bénéficiez d’une carte de cocktails par définition sans alcool.

Musique de grande qualité et décor vintage

Aux reines de l’histoire, Romain aka Bibiche et Clément les co-fondateurs. Une selecta Musicale de haute qualité, et j’insiste, se voit assurée par « Bibiche 12Inch » grand digger de vinyles devant l’éternel. Le tout se fondant dans un décor authentique et nostalgique des années 30 au mobilier chiné avec soin. « Chesterfield used », vieux buffet, pochettes de vieux vinyles et photos rétros viendront compléter le décor du tableau. Pour parachever l’histoire, vous trouverez une salle de 70 m2 au sous sol pouvant servir de dancefloor ainsi qu’un dj deck ou booth se confondant avec le bar.

 

Voici donc toutes les recettes qui permettent aujourd’hui à l’établissement d’être lauréat des trophées de la Mixologie en incarnant des valeurs authentiques entre saveurs et sonorités tout en restant dans le savoir-faire à la française. De ce constat, on souhaite longue vie au Cancan en sirotant un « Cosmopolitan » ou un « Martini dry » en écoutant du Coleman Hawkins ou du Benny Goodman, le décor est planté.

 

 

Écrit par: Boris Gouhier

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